Rue Aristide Briand, je passais par là et notais un canapé installé au coin de la rue. “C’est l’occasion de passer une excellente soirée” convins-je.
Je courus donc vers mon appartement pour y dénicher un sachet de thé et je revins vers le canapé pour m’y allonger. Il étais très confortable mais ma joie fût vite entamée. Je n’avais ni bouilloire ni tasse et encore moins d’eau claire.
Et j’étais bien seul.