Il m'arrive très souvent, lorsque je veut apporter des corrections à la carte, d'avoir ce message.
Que cela signifie-t-il?
Comment y remédier?
Il m'arrive très souvent, lorsque je veut apporter des corrections à la carte, d'avoir ce message.
Que cela signifie-t-il?
Comment y remédier?
Discussion
Comment from Canuts on 11 August 2011 at 17:08
Cela signifie que Potlatch a trop de données à afficher.
Avant de passer en édition de la carte, il faut d'abord avoir zoomé au maximum ... et sous Potlatch, zoomer encore sans attendre que toutes les données s'affichent.
Bon mapping !
Comment from Verdy_p on 12 August 2011 at 03:58
Potlatch, qui utilise abondamment Javascript dans le navigateur, ne peut gérer autant de données que JOSM. Les modifications apportées doivent être sauvées souvent car il ne peut pas charger une quantité importante de tuiles, et par défaut tente de charger tous les noeuds, tous les chemins et polygones, et toutes les propriétés. Rapidement c'est le navigateur qui refuse d'aller plus loin en limitant la mémoire.
Avec Potlatch, on ne peut éditer des zones aussi étendues qu'avec JOSM.
JOSM est un peu plus difficile au départ à utiliser que Potlatch, mais son installation est ultrasimple (il faut toutefois avoir d'abord installé le runtime Java d'Oracle, puis télécharger un petit fichier pour JavaWebStart, dont on peut créer un raccourci sur le bureau. Un cic sur l'icone et ils se lance en téléchargeant automatiquement la dernière mise à jour.
JOSM permet aussi de faire des modifications plus compliquées qu'on n'arrive pas à faire aussi bien sur Potlatch, notamment grace au support de calques permettant de sous-sélectionner des ensembles plus réduits de données, et de choisir son modèle de fond de carte (imagerie) et de rendu. Il permet aussi des recherches, divers tests de cohérence pour la validation des données (les oublis sont faciles avec des noeuds vierges posés en trop), il peut aussi télécharger des verions historiques (utile en cas de catastrophe), ou d'essayer une modification longue dans un calque, de sauvegarder localement son travail en court, et de pouvoir travailler sur des jeux de données ou sous-cartes différentsn en parallèle, avant de les fusionner dans un calque courant qu'on peut alors valider, tout en laissant le reste à plus tard. C'est partique pour procéder par étapes, et ne rien perdre, sans casser trop la cartographie modifiée postée en ligne. Il permet aussi de ne pas envoyer les modifs tout de suite (CTRL+S pour sauvegarder le calque courant dans on fichier .os. JOSM a aussi un cache plus efficace et plus économique et rapide que Potlatch.
J'aiutilisé Jotlatch pour débuter de toutes petites modifications locales (déplacer un noeud, une voie, ou corriger un bâtiment et les croisements de routes et la signalisation, ou encore poser des POIs pour commerces/cafés/services publics....