Cette demi-journée était le lancement public du processus d'ouverture des données en région Aquitiane. L'initiative rassemble à la fois la région le département de la Gironde et la communauté urbaine de Bordeaux. Cet empilement semble orienté vers la métropole locale au détriment du reste de la région. Mais l'approche est inverse. Il s'agit d'une initiative parti de la communauté urbaine s'étendant aux autres partenaires.
Parmi les invités l'on a retrouvé des acteurs nationaux et locaux pour faire un état des lieux.
On a peu entendre l'APIE parler du futur portail national. Ouvert aux différentes institutions y compris locales pour diffuser leurs données. Néanmoins la commercialisation de ces données et l'idée que des données diffusées gratuitement peuvent être réutilisées sans licence en vertu de la loi est soutenu. L'intervention laissait entendre la possibilité d'une redevance pour des usages non commerciaux et même dépassant les coups de mise à disposition pour des usages commerciaux.
Hors intervention, je me suis laisser dire que l'APIE étudiait le cas de OpenStreetMap et la condition de non dénaturation des données spécifique à la loi française. La conclusion serait que de part ça nature de wiki, et donc grasse à ça traçabilité, le projet puisse utiliser les données sans accords spécifiques sur la dénaturation de la part des fournisseurs.
L'on a aussi pu voir la représentante du projet sirtaqui du comité régional de tourisme aquitain. Ils veulent ouvrir les données mais avec des conditions et limitations digne d'un dédale. Relevant plus du marchandage que d'un esprit volontariste d'OpenData. Par exemple avec des niveaux de licences différentes pour les données multimédia et de la négociation aux cas par cas par l'échange de « bons procédés ». Arguant que l'ouverture seule n'allait pas être suffisante à la promotion de leur données, imposant ainsi des limitations aux réutilisateurs....
J’arrête là les critiques et je passe aux réjouissances.