Bonjour, J’ai besoin des fichier de données des limites administratives des communes et des wilayas d’Algérie du nouveau découpage (58 wilayas) format shapefile. Merci.
Diary Entries in French
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J’ai été diagnostiqué avec un diabète de type II, il y a de cela deux ans. Il me fallait donc changer certaines habitudes alimentaires et il me fallait faire plus d’exercice. J’ai donc allongé les promenades du chien - mais ce n’était pas suffisant en termes de temps passé - Il me faut faire au moins 40 minutes d’exercice 3 fois par semaine. J’ai trouvé une super motivation avec “street complete” et j’ai commencé à résoudre la plupart des quêtes du village, puis je prenais la voiture durant la pause déjeuner afin de faire les villages alentours. Puis l’été est venu, plus de nouvelles quêtes, plus de motivation et j’ai arrêté.
J’ai récemment repris, mais à vélo ce coup-ci. Certaines nouvelles quêtes m’ont poussé à désormais ajouter des choses que je ne faisais pas avant. Cela m’a permis de faire plusieurs passes sur certains secteurs.
Je cartographie donc :
- Les routes, chemins
- Les transformateurs Enedis
- Les collectes de recyclage
Je le fais à vélo, sur les petites routes ou personne de passe. Cela me permet de faire l’exercice dont mon corps a besoin.
Que fait habituellement Moussa DIALLO avec OpenStreetMap?
Moussa Diallo aime les cartes et Internet. Il estime que les données géographiques sont une plate-forme essentielle en tant que telle, devraient être gratuites, il fait donc sa part. Moussa Diallo cartographie principalement la Guinée, le Mali et le reste du monde. Vous pouvez consulter sa page utilisateur OpenStreetMap , ses traces GPS et bien sûr ses modifications OpenStreetMap sur lesquelles il y a un résumé statistique pratique et une belle carte.
Quelles régions du monde cartographie-t-il?
Moussa Diallo vit à Nzérékoré. Il cartographie son environnement, les lieux qu’il connaît bien et tout ce qui se trouve sur son chemin et de ses courses quotidiennes. Moussa Diallo cartographie parfois aussi d’autres régions où il voyage, notamment les sous régions qu’il connaît le mieux. Il adore l’Afrique et la Guinée en particulier pour les occasions d’améliorer les cartes des lieux qu’il affectionne, notamment Conakry, Kankan et Nzérékoré.
Quels outils utilise-t-il?
Moussa Diallo recueille des traces GPS à l’aide d’un OsmAnd. Les outils de post-production incluent Go Map et StreetComplete.
Moussa Diallo joue avec des application de production des données sur Android mais fait presque tout son Mapping en utilisant JOSM. Anciens projets Moussa Diallo a commencé à travailler OpenStreetMap depuis avril 2017.
Je veux en savoir plus sur Moussa Diallo
Moussa Diallo se cache sur Twitter, LinkedIn, Facebook. Vous trouverez également la page de l’ONG FreeLocalMappers.
Conférence des évêques de France
Travail à faire - Rang 1
- Poursuivre la construction des diocèses
- Créer les provinces
- Assembler la CEF
Travail à faire - Rang 2
- Ajouter les doyennés / paroisses aux diocèses certains existent (ex : https://nominatim.openstreetmap.org/ui/details.html?osmtype=R&osmid=1676230&class=boundary&hierarchy=1 / https://nominatim.openstreetmap.org/ui/details.html?osmtype=R&osmid=13054918&class=boundary&hierarchy=1), voir aussi sur https://osm-boundaries.com/Map
admin_level
- 1 : Conférence épiscopale
- 4 : Province ecclésiastique
- 6 : Diocèse
- 7 : Doyenné, …
- 8 : Paroisse
Ressources
Introduction
Lorsque l’on arpente le terrain, il n’est pas rare de devoir justifier sa présence un peu trop scrutatrice. C’est l’occasion d’expliquer et de faire connaître le projet.
L’association OpenStreetMap France avait élaboré un dépliant de communication très clair et joliment présenté (voir ici) mais qui a l’inconvénient de prendre beaucoup de place pour que l’on se promène toujours avec.
La carte de visite a un format idéal pour rester dans le portefeuille en attendant qu’elle soit utile. J’en ai trouvé plusieurs versions sur le wiki :
Historique
Quand j’ai commencé à cartographier sur Openstreetmap, je me souviens avoir été confronté à pas mal de questions : que ce soit sur la prise en main de l’éditeur en ligne (iD), sur les codes et bonnes pratiques à respecter, sans oublier le cadre légal des sources de données utilisables.
Avant de me lancer, je m’étais assez bien documenté. En fait, je me suis d’abord intéressé au projet : sa philosophie, son fonctionnement et sa communauté, c’est ce qui m’a motivé à participer. Ensuite, afin de respecter au mieux le travail déjà accompli et d’apporter des modifications correctes, j’ai appris pas mal de choses. Je suis passé par plusieurs sources : le guide du débutant, LearnOsm, des vidéos, le forum etc.
Malgré cette approche, on se rend vite compte que si on veut contribuer du mieux possible, plus on avance, plus on se pose de questions.
En monitorant l’activité de nouveaux venus ou de lycéens de SNT, je me suis rendu compte que, de manière générale, ce sont toujours les mêmes erreurs qui reviennent. À partir de là, l’idée d’établir des règles d’or m’est venue. Pour donner un côté un peu décalé, j’ai imaginé reprendre les 10 commandements à la sauce OSM.
Cependant, si c’est rigolo entre contributeurs avertis, ce n’est pas forcément parlant pour des novices. Il fallait un support plus pédagogique et agréable à découvrir qui puissent servir à la fois à des contributeurs isolés comme à un groupe lors d’une cartopartie par exemple.
Quelques extraits :
Bonjour.
J’ai créé un compte en 2018, mais ce n’est que maintenant que je commence à cartographier. Je voulais juste saluer la communauté pour mon entré active dans le wiki. Je suis topographe et intéressé par la cartographie.
SALUT !
Cela faisait un moment que l’idée me trottait dans la tête d’utiliser des autocollants pour faire connaître OpenStreetMap aux communs des mortels.
L’idée, faire quelque chose d’assez discret mais visible et le coller sur du mobilier urbain type poteau, cendrier, plan de site… dans un secteur bien cartographié évidemment !
J’avais créé il y a quelques temps de cela le dessin à partir d’images déjà disponibles sur la page logos du wiki.
J’ai rajouté pour la version FR un QR code pointant vers openstreetmap.fr et pour la version ENG un pointant vers openstreetmap.org. J’aurais aimé un lien qui fasse une localisation automatique afin que la carte affiche immédiatement l’endroit ou est placé l’autocollant mais je n’ai pas trouvé si c’était faisable.
J’avais laissé l’idée reposer jusqu’à qu’une personne sur le forum mette le lien d’un site de fabrication d’autocollants.
Ça a été le déclencheur pour concrétiser l’idée. J’en ai aussi profité pour m’en faire un du logo en découpé autour de la forme. Parfait pour placer sur le portable ou ailleurs.
Une fois les images envoyées, voici les aperçus des autocollants :
Bonjour,
Malgré mon inscription en 2018, je n’avais pas participé aux modifications. Je suis tout nouveau ici. Je commence utiliser trois applications Android Organic Maps, GPSLogger et StreetComplete. Toutes ces applications se trouvent sur le dépôt F-Droid.
Bonne journée.
Sous-titre Modification de bâtiments aux alentours de Blaye
- Création de nouveaux parking
- agrandissement bâtiments
- Fermeture de route
- Création de route
- ajout de station de lavage
Bonjour ! Je contribue depuis quelques années et ce que j’apprécie le plus, c’est la contribution de terrain. J’ai pu expérimenter plusieurs styles et cette entrée du journal a pour but de vous montrer ces styles, d’en discuter en commentaire et de voir comment je pourrais améliorer tout ça.
À pied
Édition directe
Quand je vais sur le terrain pour une contribution, j’ai le plus souvent sur moi uniquement mon téléphone android. J’utilise plusieurs applications qui me permettent la contribution.
StreetComplete
StreetComplete est l’application que j’utilise le plus souvent maintenant pour la contribution sur le terrain. C’est une application qui propose des « quêtes » sous forme de petites questions simples et rapides positionnées sur les éléments de la carte qui ne sont pas entièrement qualifiés. Par exemple, si la carte montre un bac de recyclage, l’application demandera ce qu’on a le droit d’y jeter et cela contribue une nouvelle donnée dans OSM.
C’est passé à 30km/h autour de chez moi depuis début janvier, en particulier visible par le marquage des rues à 50 km/heure (les autres étant par défaut à 30 je suppose, je n’ai pas encore trouvé de source expliquant cela).
Avant de passer à une modification plus vaste et automatique (voir par exemple ici), j’ai modifié ma petite zone de confort en sélectionnant à la main les diverses rues concernées, les rues concernées autour de chez moi sont seulement des residential et des secondary, donc assez simple à filtrer dans JOSM.
Ensuite 1 petit tour sur le rendu cyclosm.
C’est un bon moyen de voir les erreurs, comme par exemple : - j’avais filtré les rues ayant déjà des “maxspeed=*” / or il y avait un maxspeed erroné sur une des rues - j’avais raté la sélection à la main d’une des rues, idem cela saute à l’oeil,
Avant de m’attaquer à l’édition plus large et pour avoir une source supplémentaire concernant les rues à 50, j’ai fait une demande de données à la plateforme OpenData.
À suivre
PS : ceci est mon premier billet de journal, juste pour témoigner de petits moments de contribution :)
- Ajout du chemin osm.org/way/1016890277 ;
- Création de la relation osm.org/relation/13616475 pour représenter la balade. Cette relation remplace le way osm.org/way/374247054, créé il y a quelques années par osm.org/user/sentiers%20des%20Ecrins pour représenter la balade mais amendé depuis par plusieurs contributions qui soulignaient le problème de structure des données (une balade est une relation de plusieurs ways, pas un way en soi) ;
- Du coup, suppression du way osm.org/way/374247054.
L’itinéraire est indiqué dans le dépliant touristique de la balade disponible à https://ville-argentiere.fr/wp-content/uploads/delightful-downloads/2017/02/sentier-thematique-L-Argentiere-la-Bessee.pdf.
Menuisier pour obtenir des avivés
Bonjour,
Quels sont les points forts et ppoints faibles de Openstreetmap ? Quelle est son utlisation ? Quel est le type de scr utilisable dans cet outil ? Ppeut-ont ouvrir des shapefils dans cette interface ?
Merci bien à vous
Marie Cath
J’ai entamé un travail de mise à jour dans OpenStreetMap des arceaux à vélo de la métropole de Lyon. Il reste beaucoup à faire.
À cette heure je compte 4.091 objets dans le jeu de la métropole versus 3.351 dans le jeu OpenStreetMap. Après analyse le greffon Conflation de JOSM annonce ces chiffres :
- 2.846 correspondances, avec des écarts allant jusqu’à 40 mètres (la limite que j’ai fixée pour le rapprochement)
- 1.245 objets présents uniquement dans le jeu de la métropole
- 505 objets présents uniquement dans le jeu OpenStreetMap
Quand les positions correspondent et que c’est pas déjà renseigné, j’ajoute systématiquement la référence (le champ “nom” du jeu de la métropole) en tant que ref:FR:GrandLyon
. Ceci permettra un rapprochement plus fiable par la suite.
Positionnement : Pour les objets que j’ai traités, l’erreur de positionnement se situe parfois dans les données OpenStreetMap, parfois dans les données Métropole, voire parfois dans les 2. Quand les arceaux étaient visibles j’ai recalé les positions dans OSM. J’ai laissé une note=positionnement corrigé par rapport à l'open-data
en espérant que ça remonte peut-être un jour à la métropole. Et pour éviter qu’à chaque comparaison on se demande qui a raison. Malheureusement je ne l’ai pas fait au début et il en manque. Je referai une passe.
Suppressions : Il y a des arceaux qui disparaissent suite à des réaménagements de voirie. Ils sont supprimés du jeu Métropole mais ils sont encore présents dans les données OpenStreetMap. Quand j’ai un doute je laisse un fixme=resurvey
, que je double avec une note demandant de confirmer si les arceaux existent encore. Ça peut faire doublon mais le fixme est plus facile à utiliser pour les requêtes, tandis que la note est plus visible pour les contributeurs qui sont sur le terrain.
La collecte de la donnée avec KOBO, facilite l’obtention de beaucoup d’information sur l’objet à collecter et cela dépend de ce qu’on veut avoir comme information. La localisation du lieu de la collecte est encore mieux quand on veut faire les analyses spatiales sur les informations.
En effet, l’insertion du langage OSM dans le paramétrage de Kobo, simplifie largement la marche à suivre pour placer les informations sur le point collecté dans OSM. Jusqu’ici on convertissait les données en XLS ou CSV, puis on faisait des tris sur les colonnes utiles, on ajoutait les tags osm et en fin on envoyait à osm.
Avec le téléchargement des données dans le langage OSM, ça facilite l’envoi à OSM après quelque contrôle qualité, parce qu’envoyer les données à OSM, nécessite toujours une vérification pour éviter la duplication avec les données existantes. Je pense que KOBO va ainsi nous aider à gagner le temps de travail.
Ma curiosité a finalement été éclairée lors de la démonstration faite par Zack et Peter lors de « State of the map africa » le 20 novembre dernier sur l’utilisation du langage OSM dans KOBO, j’aimerais bien essayer ça moi-même dans la communauté pour voir le succès de cette facilitation. Si quelqu’un l’a bien compris c’est cool pour moi qu’on échange là-dessus. Ne l’oubliez pas, je suis plus à l’aise en français qu’en anglais.
Using Kobo Toolbox for OSM mapping
Collecting data with KOBO makes it easier to obtain a lot of information about the object to be collected and it depends on what you want to have as information. The localization of the place of collection is even better when we want to make spatial analyses on the information.
Indeed, the insertion of the OSM language in the Kobo settings greatly simplifies the process of placing the information about the collected point in OSM. Until now, we converted the data into XLS or CSV, then we sorted the useful columns, added the osm tags and finally sent them to osm.
Mon Experience State of the Map Africa 2021
FR- version
La 3éme edition du state of the map Africa (SOTMA) c’est tenu du 19 au 21 Novembre 2021 durant trois jours j’ai pu assisté a plusieurs panel et discussion aussi j’ai présenté la communauté OSM RDC durant une session d’échange et aussi assisté claireHalleux sur la session pratique d’edition sur le wiki openstreetmap.
Pour ceux qui ne connaissent pas indoor=, je vous invite à consulter le billet d’introduction. En bref, c’est une carte qui affiche les espaces intérieurs d’OpenStreetmap avec un sélecteur de niveaux.
Indoor= a toujours eu pour but de faciliter le travail des contributrices et contributeurs en ayant des données le plus à jour possible avec la mise à jour horaire des données d’OpenStreetMap. Malgré cette fréquence, il était frustrant d’attendre le rendu plusieurs dizaines de minutes pour se rendre compte d’une erreur.
Pour éviter cette embuche et réduire le temps de retour sur son travail, vous pouvez désormais prévisualiser vos changements sur indoor= avant de les envoyer sur OpenStreetMap.
Le plus simple pour l’utiliser est d’utiliser JOSM. Vous enregistrez vos modifications au format GeoJSON, et vous les envoyez sur indoor=.
Démonstration
On le voit, une fois le fichier sélectionné, une interface spécifique apparait, et il est facile de choisir une nouvelle version pour permettre de corriger ou d’améliorer les modifications.
Précisions, le rendu GeoJSON est une prévisualisation, il ne sera pas le reflet parfait du rendu final:
-
la gestion des caractères latins et non latin des POIs n’est pas géré
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les surfaces contiguës area/corridor ne sont pas fusionnées
-
certains POIs ne sont pas correctement gérés
-
les performances sont moins bonnes
-
il n’est pas encore possible de cliquer sur les POIs
Essayez la prévisulation dès maintenant !
Si vous trouvez de grosses différences ou pour tout autre retour, n’hésitez pas à créé un ticket sur GitHub.
La 3e édition du sotma a pris fin ce dimanche 21 novembre 2021.
Durant 3 jours, j’ai pu suivre de nombreuses communications aussi diverses que variées.
C’est la première fois que j’assiste à ce genre d’événement OSM.
Cette conférence m’a permis de découvrir des initiatives venant des communautés. Il est très intéressant de souligner qu’il y en a que l’on peut répliquer chez soi. C’est d’ailleurs l’un des avantages avec le projet openstreetmap. Ces trois jours ont été également l’occasion de mapper et de voir le visage des personnes dont on entend parlé ou rencontre les noms. J’ai aimé le programme et son contenu. Cependant, la majorité des présentations sont en anglais. Cela a été parfois un problème pour moi, des difficultés à interagir. Je voudrais à cet effet, recommander qu’il y ait des interprètes pour traduire vers les autres langues au cours des prochaines éditions. Je remercie le comité d’organisation pour m’avoir permis d’assister à cette conférence en m’octroyant la bourse.